migrations.JPGAprès le forum social mondial des migrations (FSMM) qui s'est tenu à  Johannesburg  du 5 au 8 décembre 2014, le colloque « Pour Gouvernance alternative des migrations »  les 22 et 23 mai 2015 à Paris et la dernière réunion à Paris du Réseau thématique « Migrations », une des responsables de ce réseau à Marseille communique :

« La migration est un phénomène mondial qui devrait faire l’objet d’une gouvernance mondiale. Notamment autour des zones de fracture (la Méditerranée et le Sahel, la frontière mexicaine,) ou autour des pôles d’attraction (Le Brésil, l’Afrique du Sud, la Thaïlande ou l’Europe). »
Par ailleurs, « les collectivités locales sont en mesure d’apporter les réponses concrètes aux problèmes que soulève l’accueil des migrants. Il faut promouvoir des politiques municipales d’accueil comme celles pratiquées à Sao Paulo au Brésil » explique Nina Marx, chargée de  mission au CCFD-TS.

Le CCFD-TS est solidaire avec les personnes qui meurent en méditerranée certes mais aussi avec celles qui meurent dans d'autres océans.  Il est en lien avec les pays d'origine et y soutient des initiatives qui, là-bas, permettent à la population de garder toute sa dignité.

L'humain passe avant la rentabilité à n’importe quel prix. Les migrants sont une chance pour l'avenir de l'humanité et non un perpétuel problème!
Le CCFD-TS lutte avec d'autres associations pour dire que la liberté de circulation et d'installation diminuerait considérablement les drames humains, et que ce serait une possibilité de réel "progrès".
Cependant pour que chacun ait une place il est urgent dans cette période de COP 21 de remettre « l’homme au cœur de nos choix » dans le respect de la planète pour le bien de tous.

Partout se pose des questions sur l’accueil du migrant, sur le vivre ensemble.

Le CCFD-TS désire avec d'autres, devenir bâtisseurs « de ponts et pas de murs ».