‣ Pour soutenir des actions dans les pays pauvres ou en développement, Solidaire Ville a créé une plate-forme de micro-dons sur Facebook.
Une fois sur l’application, les internautes sont invités à soutenir directement des projets précis. En cliquant par exemple sur un professeur, on donne 1 € pour participer à la rescolarisation des enfants au Pérou ; en désignant un pick-up, on cède 20 € pour soutenir la défense des droits de travailleurs au Sri Lanka. Une fois leurs dons effectués – d’un montant de 50 € chacun maximum –, les utilisateurs peuvent ensuite les « partager » avec leurs amis sur Facebook. Un baromètre visible par la communauté sur le réseau social indique combien chacun a donné.
Cliquer sur une icône désignant un tracteur ou un grenier et l’on permet à des paysans de Guinée-Conakry d’accroître leur productivité agricole : c’est ce que propose Solidaire Ville, une plate-forme de micro-dons en ligne et sur les réseaux sociaux, qui permet aux internautes de soutenir des actions humanitaires dans des domaines comme l’éducation, la santé, l’indépendance alimentaire et la défense des droits des travailleurs. Créée par le CCFD-Terre solidaire et l’agence de communication Euro-RSCG, elle est accessible via le réseau Facebook et permet à l’ONG catholique de faire découvrir de façon plus ludique les 500 projets qu’elle soutient par an.
Construit comme un jeu, l’application « n’a pas un but uniquement divertissant, mais veut rapprocher les gens des actions solidaires auxquelles ils participent et toucher un public plus jeune, explique Angelina Tessier au CCFD-Terre solidaire. Ce principe, appelé “social gaming”, invite les internautes à devenir acteurs de la solidarité internationale par le jeu et à promouvoir une communauté au sein des réseaux sociaux. » Par une expérience interactive qui s’adresse aux plus jeunes, SolidaireVille renouvelle les pratiques traditionnelles de l’appel à la générosité.
Solidaire Ville : https ://apps.facebook.com/solidaireville Contact : CCFD-Terre solidaire (tél. : 01.44.82.80.00).
