La Semaine de Solidarité internationale dans l’aube est organisée par un collectif d’associations dont le CCFD Terre Solidaire fait partie.
Cette année le titre de la semaine « Pour un autre regard sur le monde » s’inscrivait tout à fait dans le thème national « Droits Essentiels ».
C’est avec les jeunes des centres de loisirs que nous avons voulu porter ce regard et c’est ainsi que la Solisphère sur les droits fondamentaux a été conçue par le groupe « Jeunes de la Chapelle-Saint-Luc » Ce sont eux qui ont été amenés à inviter les passants à laisser leur message de solidarité sur la Solisphère lors de la journée de lancement de la Semaine de Solidarité Internationale, qui elle-même s’est également inscrite dans le mois de l’Economie Sociale et Solidaire.
Le CCFD Terre Solidaire, tenait à cette occasion un stand d’informations et d’animations. Le jeu « Twisterre » en faisait partie pour les jeunes comme pour les moins jeunes. Un stand SIDI était également installé pour présenter la finance solidaire et ses 30 ans d’existence.
Environ cinquante enfants au centre de loisirs « Mille Couleurs » de la Chapelle Saint Luc et une quinzaine au centre « Coulommière à Troyes, ont, par différents jeux, participé à cette semaine de Solidarité Internationale : un pas en avant sur l’eau, réflexion sur la faim autour de la carte Peters, circuit du jean, jeux sur les droits fondamentaux, etc…..
Autres animations de « La Semaine » :
· Le film « SABABOU » qui signifie "L'espoir" en dialecte africain. Samir Benchikh en a fait un film-documentaire dans lequel le réalisateur a suivi 4 personnalités qui incarnent l'espoir d'une Afrique meilleure et plus humaine : Michel Yao, membre de la Ligue Ivoirienne des Droits de l'Homme, Rosine Bangali, présidente de l'association Droit des Enfants en Côte d'Ivoire et Diabson Téré et Tiken Jah Fakoly, tous deux chanteurs. Un film qui confirme l'implication de Tiken dans le combat pour la démocratie, l'égalité et la justice en Afrique.
· Quand au documentaire « les Eclats (ma gueule, ma révolte, mon nom) » de Sylvain GEORGE, les politiques migratoires mortifères inacceptables y sont dénoncées. Les éclats de voix, éclats de rire ou de rage pris sur le vif d’hommes de nationalités et de couleurs différentes livrant leur souffrance, l’omniprésence policière sont captés afin de rendre compte le plus justement possible de ce qui se passe, là, en France, sous nos yeux, dans nos champs, et qui n’est pas normal.