Son premier film « Route 60, un itinéraire au-delà des frontières » retraçait son périple sur la route 60, qui traverse la Cisjordanie du Nord au Sud. Au travers de ses rencontres, il découvre et montre les difficultés de la vie quotidienne des Palestiniens sous occupation militaire israélienne.

Son second film documentaire qui vient d'être présenté est « un voyage intime à la recherche de la Palestine en Israël », et aborde la question de l’identité des Palestiniens vivant en Israël.

Les Palestiniens représentent 20% de la population en Israël, souvent marginalisés dans la société israélienne. Pour les nouvelles générations, 1948, date de la création d’Israël et de l’expulsion de centaines de milliers de Palestiniens, est une page de l’histoire (réécrite par l’État israélien) apprise à l’école. Certaines familles choisissent d’oublier leur identité palestinienne pour mieux aider leurs enfants à s’intégrer.

Alaa ASHKAR, fait partie d’une de ces familles. Alors qu’il commence les repérages pour un documentaire sur la mémoire palestinienne en Israël, sa famille, vivant en Galilée, manifeste une certaine inquiétude à l’idée de ce film. Il décide alors d’inclure sa famille dans le scénario.

Le documentaire « On récolte ce que l’on sème » qu’Alaa ASHKAR nous livre est un récit intime sur l’évolution de son identité, depuis son enfance au sein de sa famille protectrice jusqu’à l’âge adulte.

Le film a été projeté en Finistère : Le 27 novembre, à BREST – le 28, à LANDERNEAU – le 29, à CARHAIX – le 30, au Club, à DOUARNENEZ – et le 1er décembre, au Quai Dupleix à QUIMPER. Chaque projection a été suivie d'un débat avec le réalisateur.

Alaa a été très heureux de sa tournée Finistérienne, de l'accueil, des rencontres et des échanges.C'est la première fois qu'ensemble nous avons organisé une telle tournée.

Ci-dessous, le flyer qui annonçait les projections

Flyer_Finistere_A5_Recto-Verso_VF3_-_On_recolte_ce_que_l_on_seme.pdf

Sur www.freebirdfilms.com , « On récolte ce que l'on sème » apparaît en première page