« Alternatiba, le village des alternatives » - 26/27 septembre - Sancé (71)

En décembre prochain, la France accueillera et présidera la COP 21, une conférence sur le réchauffement climatique à laquelle participeront de nombreux pays. L'objectif attendu de cette conférence internationale : obtenir un premier accord universel et contraignant pour maintenir l'augmentation de la température globale en-dessous de 2°C.

Pour sensibiliser le plus grand nombre de citoyens à ce problème du réchauffement climatique et pour faire pression sur les hommes politiques présents à cette conférence, des organisations comme Alternatiba se sont mises en route.

Le CCFD-Terre solidaire appuie ces initiatives et nous invite à nous mobiliser car ses partenaires sont en majorité des populations pauvres du sud très touchés par les aléas climatiques : désertification, cyclones, montée du niveau des océans et catastrophes qui se multiplient... Or des actions menées par un collectif ont plus de poids que des actions individuelles et le changement climatique est une réalité qui concerne tout le monde, quelles que soient les opinions par ailleurs (cf la récente encyclique "Laudato si").

Avec dix autres associations, le CCFD-Terre solidaire de Saône et Loire sera présent à Sancé dans le "Village Biodiver'Cité" et attend votre visite.

D'autres "villages" aborderont les thèmes : Energie - Habitat - Eco-mobilité - Agriculture - Santé - Finances - Environnement.

Outre la visite de ces différents stands, au programme aussi de ce week-end joyeux, festif et intelligent,  :

     * le samedi après-midi : débats, conférences, films (programme "festival"), spectacles et soirée musicale.

     * le dimanche : ateliers, présentation d'alternatives ... le tout en musique !

La mobilisation de chacun est cruciale pour peser sur les négociations de la COP 21.

Nous, citoyens,

    * Nous pouvons changer nos modes de vie, nos habitudes, pour lutter contre le réchauffement climatique.

   * Nous pouvons démontrer que ce changement peut être joyeux, en allant vers le "bien vivre", en sortant des égoïsmes de la consommation de masse.

   * Nous pouvons faire pression sur les décideurs pour qu'ils prennent enfin au sérieux cette problématique.