Quelques réactions au film : 

La Palestine, les Arabes d'avant 48 !
 Mémoire occultée et oubliée par les générations suivantes.
 Mémoire et paroles retrouvées, parfois douloureuses, en famille, avec des amis, grâce à  un réalisateur sensible à la recherche de son identité.  Mireille S

Le film « On récolte ce que l’on sème » d’Alaa Ashkar fait découvrir la vie quotidienne des Palestiniens résidant en Israël depuis 1948. À travers des entretiens de personnes de différentes générations en questionnement sur leur identité, il pose un regard calme, sobre, lucide et sans animosité sur un peuple éclaté.  Jean et Nicole R

Mes impressions sur le film qui prolonge le précédent,  c’est  une recherche identitaire d'un jeune adulte Palestinien qui ne connaissait pas son histoire et ses racines.  Il nous montre ce que les gens de toutes générations et notamment sa famille ressentent de leur Histoire. Que malgré l'oppression des israéliens,  ils vivent et sont heureux sans oublier l'injustice dont ils sont les victimes.  J’ai vu un film sincère  et attachant. Yveline B

« On récolte ce que l’on sème »… Dans le non dit, le langage non verbal, la gêne pour répondre à cette question : être palestinien en Israël aujourd’hui? on voit la récolte de ce qui a été semé, une peur latente jamais dite, appelée inquiétude. On voit aussi la perte de la mémoire qui s’opère petit à petit au fur et à mesure des générations, perte due à la peur de parler mais aussi orchestrée par les programmes scolaires. On voit tant d’autres choses indicibles. Un film sans violence, où le cadre pourrait faire penser que tout va bien. Un film profondément humain. A voir et à revoir : tant de séquences qui paraissent de la simple vie quotidienne mais  qui vont bien au-delà….  Chantal B

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L'AFPS de Thionville et de Metz, Le CCFD-Terre Solidaire, La Ligue des Droits de l'Homme vous ont invité à la présentation du film d' Alaa Ashkar " On récolte ce que l'on sème" le mardi 6 Juin à 20h au cinéma Scala à Thionville et le jeudi 8 juin à 20h30 à Marlymages

Alaa Ashkar

Palestinien de Galilée, citoyen d’Israël, Alaa Ashkar a 34 ans. Il a fait des études de droit à Netanya dans le centre d’Israël. Il voit l’Intifada de loin. La Cisjordanie n’est pourtant qu’à 40 km… Après avoir étudié à Sciences-Po en France où il vit toujours et beaucoup voyagé dans le monde « histoire de trouver la paix de l’esprit, loin des pressions de la société israélienne », il se pose des questions sur son identité.

C’est un film intime où il a choisi de filmer sa propre famille, dans un contexte de colonisation israélienne interne.

Voici un extrait vidéo :
http://freebirdfilms.com/fr/home-freebirdfilms/filmographie/accroche-toi-a-tes-emotions/

Pour télécharger le dossier du film : Dossier_film.pdf

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Le Collectif  Transfrontalier pour la Palestine ( composé du comité luxembourgeois (CPJPO), de l'AFPS 57 de Metz- Thionville et du collectif BDS57 ) vous invite​nt​ à la projection du film palestinien de Muayad Alayan : 

"Amours, larcins et autres complications..."                               
 Jeudi 6 avril 2017 à Marlymages

Il s'agit d'un jeune palestinien qui cherche par tous les moyens à obtenir un visa pour l'étranger..
Ce film entre dans le cadre du Festival du Film Palestinien qui se déroule du 4 au 9 avril 2017 à Strasbourg, Sélestat, Mulhouse, Marly (Metz) et Luxembourg.
Pour télécharger le programme : Festival-Programme-2017.pdf

Un débat, suivi du pot de l'amitié sont prévus en fin de soirée

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Les antennes régionales de l'association France Palestine ont organisé en partenariat avec le CCFD-Terre Solidaire et d'autres partenaires  cette conférence au niveau régional avec la participation de Jean-Claude Sauzet, Emad Badra, Issa El Shattleh. 

Dernière nouvelle : Emad Badra a été arrêté par les autorités israéliennes à l’aéroport de Tel-Aviv le 19 Novembre 2016 où il devait prendre l’avion pour la France et interdit de sortie du territoire.

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- le 20 Novembre à Nancy à 14h
- le 21 Novembre à Epinal à 20h
- le 22 Novembre à Belfort
- le 23 Novembre à Colmar
- le 24 Novembre à Thionville - Salle du Beffroi 1 Place du marché à 20h
- le 25 Novembre à Metz Grenier des Récollets à 20h30

Pour lire l'article sur le site du diocèse :
http://metz.catholique.fr/accueil/actualites-diocesaines/297606-israel-palestine-de-paix-justice/

 

 

Pourtélécharger le flyer Thionville et Metz :
flyer_Thionville_PDF.pdf
flyer_Metz_25.11.2016.pdf

 

Pour plus d'infos contacter l'AFPS 68

 

Les biographies des intervenants : 

Jean Claude Sauzet : . Il est l’aumônier de la maison d’Abraham à Jérusalem, une maison gérée par Caritas France qui accueille de très nombreuses personnes, pèlerins et autres sans distinction. La maison d’Abraham de Jérusalem… un havre de paix, de sérénité, de liberté, de respect de l’autre, un lieu de rencontre extraordinaire.

Ici des rencontre extraordinaires sont possibles…, avec Jean Claude Sauzet, qui a été longtemps l’aumônier national de CCFD-Terre Solidaire qui depuis longtemps est l’un des plus importants partenaires en France de la solidarité avec la Palestine…

 

Issa El Shatleh : Issa, c’est le symbole même de cette société palestinienne. Il est né à Beit Jala (une ville qui aujourd’hui ne fait qu’une avec Bethléem) dans une famille chrétienne orthodoxe. Issa est un militant politique de la Résistance civile non violente contre l’occupation. Après ses études universitaires en France, de retour en Palestine il a employé toute son énergie, de 1995 à 2010 pour créer le plus important syndicat paysan de Palestine. Il a été le pilier et le directeur de ce syndicat qui rassemble la grande majorité des paysans palestiniens.

Il nous fait découvrir une autre Palestine que celle renvoyée par les images médiatiques de violence. Il nous a fait connaître cette Palestine aux potentialités d’ouverture extraordinaire, avec ses souffrances, ses luttes, ses contradictions, ses espoirs… et également son désespoir devant l’irresponsabilité de la communauté internationale.

Il nous fait découvrir un autre Israël. Un Israël tellement différent de l’image médiatique déformée d’un monobloc raciste et  hystérique.

Fadi Msmara, israélien conseiller général pour les villages bédouins du Néguev a eu un empêchement de dernière minute et n'a pu se libérer pour venir comme prévu initialement. Emad qui est un ami très proche de Fadi à bien voulu le remplacer.

Emad Badra.

Il est né à Gaza 1970. Il s’est marié avec une citoyenne israélienne d’origine palestinienne en 1995, avec qui il vit en Israël depuis plus de 20 ans dans le cadre d’un regroupement familial. Les restrictions depuis 2000 des droits des personnes regroupées font que même après 20 ans, alors que sa femme et ses enfants sont Israéliens, il n’a toujours pas accès à la citoyenneté israélienne. Avec sa famille il est néanmoins parfaitement intégré à la société israélienne. Avec ses nombreux amis israéliens politiques, syndicaux associatifs, Emad est un militant du mouvement de lutte pour l’égalité et la paix et les Droits de l’Homme. C’est un militant associatif très connu à Nazareth: il gère une association de jeunes bénévoles, chrétiens et musulmans à Nazareth. Ces bénévoles agissent en soutien aux enfants palestiniens atteints de cancer et soignés dans les hôpitaux israéliens.

A Metz : Conference_Metz.pdf

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